Il n’y a rien de plus beau qu’une femme dans la fleur de l’âge

Qui me donne envie de quitter mon village.

 

Oh beauté de femme

Qui dans mes yeux jamais n’éteint la flamme

Tes seins, tes cheveux, tes tétons

Mes mains, mes yeux, mon dieu que c’est bon.

 

Timide ou exhubérante, je suis liquide ; la fougue conquérante

Fou quand je sens ton odeur.

Doux, je deviens pour te faire honneur.

Aucune des sept merveilles ne t’arrivent à la cheville

Et je m’émerveille, toi toute chaude dans les rues de Séville.

 

Le tissu de ta robe virevolte,

Je devine tes fesses.

Bouche ouverte je gobe 1000 volts

Viens encore que je me confesse.

 

Par boofminoo, membre Gleeden qui précise qu’il aimerait qu’une lectrice de Paris ou banlieue proche lui propose de lui lire le texte de vive chair !

 

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