douche

La chaleur de cette belle journée d’été me donne l’envie d’aller me rafraîchir à la piscine. 

Je nage souvent dans ce bel espace aquatique qui a été totalement rénové récemment. Ses équipements étincelants de modernité invite à restera des heures pour en profiter. Les vestiaires et les douches semblent sortir d’un magazine de salles de bains de luxe, spacieux, élégants, on s’y sent comme dans un hôtel 4 étoiles.

Depuis quelques jours, j’ai rencontré une jeune femme très agréable qui vient aussi souvent dans ce lieu pour nager et se rafraîchir. Nous discutons de tous les sujets et je la trouve attirante, tant physiquement que par sa personnalité. Aujourd’hui, je la retrouve dans le grand bassin et nous papotons en nageant la brasse sans grands efforts. Je lui propose d’aller se rafraîchir à la brasserie en face de la piscine après une bonne douche. Arrivés devant les cabines de douches, elle m’invite à entrer discrètement avec elle dans une cabine spacieuse. Très surpris, je n’hésites malgré tout pas une seconde et je me glisse rapidement dans la douche, sa main agrippant mon poignet me tire vers elle pour accélérer mon entrée et m’éviter de réfléchir à un éventuel recul de timidité.

Son maillot une pièce souligne son corps sculpté qui dessine ses courbes sublimes, ses hanches soulignées par l’échancrure du tissu. La température monte entre nous dans cet endroit exigu et saturé de vapeur d’eau s’échappant des autres douches autour. Avant de faire couler l’eau, elle me tourne le dos, je lui caresse doucement le cou, puis mes mains glissent sur ses épaules et sur les bras jusqu’aux mains. Je prends les deux bretelles du maillot et l’enroule jusque sous le nombril. Je fais glisser mes mains sur son dos, du cou jusqu’au maillot, et sans quitter sa peau humide et douce, mes doigts arrivent autour du nombril en décrivant lentement de petits cercles, qui grandissent pour arriver sous sa poitrine.

Je redescends au niveau du maillot que je fais alors descendre jusqu’à ses genoux. Je remonte doucement mes mains sur l’extérieur des cuisses, puis je caresse délicatement ses hanches, l’intérieur des cuisses pour enfin finir de pousser son maillot sur ses pieds.

On inverse alors les positions, moi dos à elle. Elle mes caresse les pectoraux, descend sur le ventre et tire mon maillot lentement jusqu’à mes chevilles. Elle remonte ses mains sur mes mollets, mes cuisses, mes fesses et devant jusqu’au nombril. Je me retourne vers elle, et elle commence à déguster une glace au fruit du chêne, descend sa langue sur la branche qui se tend de plus en plus pour arriver aux noix qu’elle aspire tendrement.

Elle se relève alors, me laissant à demi tendu. Enfin sans maillots, dos à moi, debout, elle pose ses mains sur le mur et déclenche la douche dont l’eau tiède glisse sur son dos, la réchauffe jusqu’au creux des reins. Je prends son gel douche et commence un massage léger sur ses épaules, la mousse fait glisser mes mains jusqu’à ses deux dômes fermes, que je malaxe doucement en cercles, de l’extérieur jusqu’aux aréoles et en pinçant doucement ses tétons entre l’index et le pouce.

L’eau s’arrête de couler et je remets du savon sur mes mains. Elles descendent lentement de sa poitrine sur son ventre, ses cuisses, jusqu’aux pieds puis remontent sur les mollets, l’arrière des cuisses et ses fesses que je caresse et commence à presser. Je les masse du haut vers le bas, du bas vers le haut et j’entends son souffle de plus en plus fort, qui s’accélère. Elle se retient de gémir, même doucement pour ne pas éveiller les nageurs et le personnel de la piscine qui passent devant la porte de la cabine. Ce petit danger l’excite. La mousse du savon s’efface par vagues lorsqu’elle remet en route la pluie fine de la douche. Son corps ruisselle et ma langue boit les gouttes qui perlent sur son dos et rejoint son cou. Elle se retourne et attrape ma langue entre ses lèvres, l’aspire par petits à-coups d’avant en arrière. Elle enroule ses bras autour de mon thorax et me serre doucement. Je sens son cœur battre de plus en plus vite, de plus en plus fort.

-Tu veux bien me laver maintenant ? lui dis-je doucement au creux de l’oreille.

-Avec plaisir.

Le débit de l’eau se réduit lentement et s’arrête à nouveau. Elle prend à son tour le flacon de savon, le pose tête en bas sur la base de mon cou et le fait couler dans le sillon de ma colonne vertébrale. Ses doigts lisses et chauds parcourent tous les muscles dorsaux, les massent de droite à gauche, puis de gauche à droite. Ils glissent jusqu’à mes fesses enduites de petites bulles savonneuses et les caressent doucement. Ils passent ensuite devant sur le haut des cuisses et prennent tendrement mes deux noix dont la peau se contracte au touché délicat de la pulpe de ses dernières phalanges. La branche du chêne est à présent très dure et gonflée de sang chaud, très rouge comme ses joues. Toujours debout, elle l’empoigne fermement et avec la douceur du savon, sa main coulisse de la base jusqu’au sommet turgescent, redescend doucement puis le mouvement s’accélère. Mon cœur a présent bat très fort. Elle arrête son geste et me prend la main droite dans la sienne, la pose sur son ventre, appui sur elle en la dirigeant vers le bas. Mon majeur arrive au sommet de ses pétales, eux aussi gonflés et brûlants et je le glisse entre ces deux merveilles, du bouton capuchonné jusqu’à son périnée.

-Vas-y, fait jouer tes doigts, gémit-elle.

Entre les grandes et les petites dentelles pourpres, mes doigts glissent alors de mieux en mieux, aidés par son lubrifiant naturel de plus en plus présent. Je sens son bouton grossir, et à cet instant, elle pousse mes épaules vers le bas, attrape ma tête entre ses mains et plaque ma bouche sur son mont de Vénus parfaitement lisse et rasé. Ma langue sort doucement de mes lèvres et sa pointe vient se faufiler jusque sur le capuchon. Je décoiffe alors le bourgeon avec mon pouce en tirant la peau du mont vers le haut et la moitié de ma langue l’effleure dans un mouvement lent. Je continue ce geste de haut en bas et inversement en appuyant de plus en plus. Au bout de quelques secondes, elle n’arrive plus à retenir un petit cri que nous sommes seuls à entendre a priori, heureusement.

Après ce premier plaisir, ses jambes deviennent coton et elle ne peut plus rester debout. Elle s’agenouille et pose ses mains au sol. Je pose aussi mes genoux au sol devant elle, de sorte que son visage face à moi puisse accueillir le fruit tant désiré par sa bouche. Sa langue parcourt lentement le frein par petites touches subtiles. Tout en prenant ce fruit entre son palais et sa langue, comme si elle voulait qu’il fonde comme un bonbon, je lui caresse les cheveux et le haut du dos. Avant que la lave pâle puisse s’échapper du volcan englouti, elle l’extrait de sa bouche, fait un demi-tour sur son genou gauche et me demande d’entrer dans son vestibule, d’abord avec un doigt. Le pouce humide entre alors dans ce fourreau chaud et glissant, en appuyant par petites pressions répétées sur le point qui lui déclenche un râle soufflant le plaisir jusqu’à mes tympans. Mon pouce ressort alors pour faire place à un organe plus chaud, plus long et plus large. Au bout de quelques voyages du col au périnée, l’éruption est alors inévitable et nous envahi d’un bonheur intense et silencieusement retenu.

Nous restons alors assis sous l’eau maintenant plus fraîche sans doute par une utilisation excessive des nageurs, très nombreux aujourd’hui. Après quelques minutes aussi sous cette pluie qui tempère nos peaux surchauffées par l’exercice ludique et sportif que nous venons de vivre, nos battements de cœur ralentissent. Nos souffles reprennent le rythme normal du repos mais le plaisir dans nos ventres couvent encore comme un brasier mal éteint. Nous sentons qu’un seul frôlement de l’un sur l’autre peut raviver l’incendie de nos corps fatigués. Elle pose alors sa main droite sur ma cuisse, la presse légèrement et remonte jusqu’aux hanches. Elle prend mon pénis maintenant moins agile et vigoureux, le serre doucement comme pour faire jaillir le lait d’un pis flasque et épuisé. Malgré cet état, le pis se retend lentement, suintant encore du plaisir écoulé. Cette crème légère donne à sa main la douceur parfaite pour durcir ma bite au maximum. Elle lâche alors la peau fine chauffée par ses mouvements délicats et vient s’accroupir au-dessus. Avec ses deux belles dunes mouillées, elle masse la surface de ma flèche tendue avant de l’aider à pénétrer doucement dans son intimité. D’abord juste ma cerise, très sensible après son voyage précédent, entre dans son corps chaud et humide. De petites flexions sur ses cuisses attisent le plaisir qui grandit du creux de mon ventre au sommet de mon crâne, irradie mes jambes et glisse au bout de mon sexe. Ses jambes ne tenant plus, elle s’assoie sur moi, ses fesses contre mon bassin propulse comme un arc ma flèche jusqu’au fond de son vagin tout chaud. Dans cette position, je sens à cette extrémité son col gonflé de désir. Nous restons dans cette immobilité délicieuse. Je sens mon phallus serré par ses muscles vaginaux qui l’entoure comme une main. Il tente de se cabrer timidement. Son corps trop faible pour esquisser encore quelque mouvement que ce soit, je la soulève avec précaution, puis elle pose son dos au sol, je pousse ses jambes sous les genoux vers ses épaules. Je décoiffe son délicat clitoris et le frotte avec mon gland jusqu’à ce qu’elle prenne ma queue pour l’enfoncer au plus profond de son ventre.

Les mouvements lents de mes hanches l’obligent à se cramponner à mes poignets, mes mains ancrées au sol de part et d’autres de son buste. Petit à petit, j’accélère le rythme quelques secondes, ralentis à nouveau pour enfin la voir rougir de tout son être, les veines du cou gorgées à leur apogée, son plaisir atteignant l’acmé tant désiré.

Après un dernier savonnage et rinçage rapide, nous sortons de la douche sous le regard amusé de certains qui ont devinés notre jeu et nous nous rhabillons chacun dans une cabine de vestiaire différente, de peur d’avoir envie de recommencer une autre situation intime, indiscrète mais si agréable.

La natation est décidément un sport très plaisant, très bon pour le cœur mais aussi pour le corps.

– Par Kolisz, gagnant du concours d’écriture 2019

À lire également : 5 conseils après votre inscription sur Gleeden