Freedhomme, membre depuis 2 ans, nous raconte son incroyable rencontre avec son amante rencontrée sur Gleeden.
Pour la première fois Célia trompait son mari, disait-elle. Elle commettait trop d’imprudences, pour ne pas être inexpérimentée, ou amoureuse. On est toujours un peu puceau, quand on est nouvellement épris.
Pendant trois semaines nous avons conversé, avant de nous rencontrer en trois dimensions. Trois semaines de confidences, de rires, et de complicité. La frustration se fait plus douce, et parfois enivrante, lorsqu’on se sent aimé. Le désir demeure un manque, mais un manque qui nous transporte et nous comble. Nos échanges ont pris la tournure d’une ferveur épistolaire.
Elle commet les pires erreurs de novice, à la fois anxieuse, fébrile et téméraire, dialoguant avec moi, sur Gleeden, via son téléphone portable, sous la couette, contre son mari endormi, m’appelant, le soir, isolée, retranchée dans un coin de sa maison, chuchotant, souhaitant entendre ma voix avant de regagner son lit conjugal. Sans cesse je la mettais en garde. Peu à peu, elle apprend la prudence.
A distance, nous avons érigé notre espace de liberté et de sincérité, affranchi des considérations patrimoniales, familiales, et des convenances sociales. Un espace de mots et de voix où pleinement être nous-mêmes, ensemble. Le bonheur d’un coup de foudre « virtuel », qui n’a de virtuel que le nom.
Comme elle craignait que je sois déçu par son corps, sans grâce à ses yeux, si émouvant aux miens, nous nous sommes la première fois aimés à la lueurs de bougies parfumées, dans une chambre d’hôtel feutrée, spacieuse et douce.
J’étais honoré qu’elle m’ait choisi pour être son premier amant, partenaire privilégié de son renouveau et de son accomplissement.. Comme si elle m’offrait sa virginité. Il me tenait à cœur de ne pas l’effaroucher, ni la brusquer. Je percevais l’importance que revêtait pour elle notre amour naissant, et son sentiment de culpabilité, que je m’efforçais d’apaiser.
Plus ses sentiments prenaient de l’assurance, moins elle culpabilisait. On ne saurait facilement se reprocher d’aimer et se donner en toute franchise. Pour ne pas se mortifier : rester et devenir soi-même. Tromper son compagnon ou sa compagne, peut-être, mais ne pas se trahir, et moins encore se renier. Chercher au contraire à s’accomplir, et pouvoir se dire, dans les bras de l’être aimé : « Je suis moi. Nous sommes nous. Et nous sommes à notre place. »
A mesure que nous nous enlacions, me sentant animé d’un désir bienveillant, elle oubliait ses complexes, sa honte fondant sous l’ardeur de notre passion. Nos promesses d’une idylle au long cours ont rendu moins difficile l’instant de desserrer notre étreinte.
Elle ne regrette pas notre coup de soleil, trop amoureuse et trop confiante en mes propres sentiments pour que perdure la honte.
J’ignore où nous mènera notre aventure, mais notre parcours est enchanteur. J’ai trouvé plus qu’une amante. J’ai trouvé la sœur dont je n’osais plus rêver, avant de la rencontrer. Jamais je n’aurais cru la trouver sur un site consacré à l’adultère. Et pourtant…
Freedhomme, homme, 39 ans, La Rochelle, membre depuis le 10 juin 2011
Je tenais à te dire que je suis d’accord avec toi sur le faite que la 1er rencontre , la découverte de l’autre , se laisser complètement aller à c’est moindre désir est tellement fort , bon et immense à la foi . Mais ne jamais oublié que cette relation ne doit être qu’une relation baser sur l’échange physique et non pas amoureux . Car si les sentiments amoureux se mêle à tous sa , cela peut être très dangereux . Savoir ou placer la barre, fixer des règles pour le bien de chacun . L’affection extra-conjugal est plus fort que l’affection maritale .
Mais c’est vrai je te l’accorde le coup de foudre virtuel excite j’en n’est fais l’expérience il y à pas si longtemp , c’étais très très intense on n’a échanger pendant 2 mois via Gleeden , Mail et Téléphone on n’ais devenue accro l’un à l’autre . Juskau jour ou nous avons décider de concrétiser notre amour car on n’étais tomber amoureux . On n’avais tellement envie de faire l’amour que Mr n’a pas pu me toucher il étais tellement mal de devoir un jour arreter de me voir , par peur de me faire souffrir et que lui aussi souffre car il n’avait jamais ressentie sa pour aucune autre amante qu’il est partis en me laissant me posant un doux et langoureux baiser sur les lèvres en me disant je t’aime , puis il est partis. Je pense surtout qu’il se sentais mal et qu’il ne pouvais pas gérer ses sentiments …