Un(e) ami, un(e) voisin, un(e) inconnu ? Découvrez ici avec qui les infidèles commettent leur première incartade. 

Aufeminin.com 19 Mars 2013

À l’arrivée du printemps, une étude s’est intéressée à la question de l’infidélité. Avec qui cède-t-on pour la première fois à la tentation ? Verdict…

Avec qui trompe-t-on son conjoint pour la première fois ? Le site Gleeden.com, spécialisé dans les rencontres extra-conjugales, s’est penché sur la question. Il a effectué un sondage en ligne, sur un échantillon de 3 806 personnes infidèles, réalisé du 2 au 9 mars 2013. Les interrogés, tous européens, avaient entre 24 et 49 ans. Résultats : En règle générale, on cède à la tentation de l’infidélité avec une personne issue de son entourage. Une majorité des cas (36%), n’imagine pas sa première incartade avec quelqu’un d’autre qu’un(e) ami(e). Par ailleurs, près de trois sondés sur dix (29%), admettent qu’ils ont succombé avec un ex, alors que près de deux cas sur dix (17%) commettent la faute avec un collègue de travail. Les tromperies sont ainsi consommées dans le cercle de connaissances. Il est donc logique que plus de la moitié des personnes interrogées (54%), reconnaissent que leur partenaire et leur amantse sont déjà côtoyés (souvent à l’insu du premier).

Les raisons du choix de son amant diffèrent néanmoins entre les hommes et les femmes. Concernant la gente féminine, elle recherche avant tout une personne de son entourage, à qui elle peut faire confiance. « Les femmes ressentent un besoin accru de compréhension et d’affinités pour se sentir prêtes. Sauter le pas leur demande souvent davantage de cheminement personnel qu’à leurs homologues masculins, moins enclins à psychologiser leurs actes. Pour une femme, le déclic est moins mécanique et le contexte s’avère central : elle a besoin de se sentir désirée et rassurée à la fois », analyse Anne-Sophie Duthion, porte-parole de Gleeden.com. Du côté deshommes, leurs critères tiennent en deux mots : facilité et proximité. Plus c’est simple, mieux c’est ! À l’inverse, une fois l’infidélité consommée, les femmes comme les hommes, s’accordent à dire que l’expérience est plus facile à réitérer. Près de la moitié des sondés (48%), confesse qu’une fois les premiers freins levés, sa principale préoccupation est d’assurer la discrétion de son incartade pour protéger son couple. Ainsi, lorsque la machine est bien rodée, les infidèles mettent tout en œuvre pour ne pas être démasqués…

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